La pianiste Elitsa Desseva, elle, semble avoir à revendre, tant elle paraît s’être assimilé l’idiome ravélien. Cette impression se confirme avec Banalités de Poulenc, recueil dans lequel on entend rarement des voix d’une étoffe aussi généreuse : c’est un vrai plaisir que d’écouter « Hôtel » si somptueusement servi, ou « Voyage à Paris » pour une fois repris aux sopranos. [FR]